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LE SOLEIL

Publié le par Victor HUGO




Quand je suis triste, je pense à vous, comme l'hiver on pense au soleil, et quand je suis gai, je pense à vous, comme en plein soleil on pense à l'ombre.

Victor Hugo

Extrait de J. Huas, Juliette Drouet. Le bel amour de Victor Hugo


Publié dans PROVERBE DU JOUR

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LA VILLE DE CUSCO (1)

Publié le par Domi

 

Le département  de Cusco se caractérise par un relief accidenté. On y trouve des vallées inter andines fertiles, entourées par d’importantes montagnes. Le climat à Cusco est froid et sec. La saison des pluies se situe entre novembre et mars, nous étions dans la saison sèche allant d’avril à octobre. La  moyenne de température annuelle est de 12°C et la population actuelle de la ville est de 367 791 habitants.

En 1821,  le Pérou devient indépendant du joug espagnol, en 1978 lors de la VII convention des maires du monde réunis à Milan donneront à la ville de Cusco, le titre de « Patrimoine Culturel du Monde », en décembre 1983 à Paris, elle sera nommée par l’UNESCO « Patrimoine Culturel de l’humanité ». Aujourd’hui, elle est la ville du Pérou qui reçoit le plus grand nombre de visiteurs du monde entier.

Au temps de l’empire Inca (Inka) elle s’appelait Huacaypata et était le centre où se déroulaient des fêtes et des cérémonies les plus importantes. C’est le lieu idéal pour apprécier la singulière beauté, tracée selon la tradition par l’inka Manco Capac. Elle était bordée par quelques-uns des plus fameux  bâtiments de l’empire, des palais, parmi lesquels ceux des Inkas Pachakuteg, Wiracocha et Wayna .

Il faudrait pouvoir imaginer le Huacaypata lors des cérémonies qui rythmaient la vie de l’empire, par exemple  lors des fêtes de l’Inti Raymi, au solstice d’hiver (fin juin), de Situa au début de la saison des pluies (septembre), ou encore au moment du retour triomphal de l’Inka après une expédition guerrière. Au temps des Inkas, cette place eu une signification d’ordre astronomique et religieuse, après avec l’arrivée du conquérant la place subit toute une série de changements dans l’espace et dans sa conception. Le 18 mai 1781, elle fut témoin du sacrifice du premier indien à se révolter contre l’espagnol. José Gabriel Condorcanqui (Tupac Amaru II).





Aujourd’hui la place est un endroit de rencontre, de concentration populaire lors des activités religieuses, civiles et politiques.

 

Nous continuerons la visite de Cusco un peu plus tard …. Dans un deuxième article

Publié dans AU PAYS DES INCAS

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CHANT PASTORAL

Publié le par Domi

CHANT PASTORAL

Je voudrais avoir un lama

Dont le poil serait d’or
Brillant comme le soleil
Et fort comme l’amour,
Doux comme la nuée
Qui dissipe l’aurore.
Pour faire un quipu*
Où je marquerais
Les lunes qui passent
Et les fleurs qui meurent.


(région de Cuzco, recueilli par Alomias Robles, « literatura Inca », biblioth. De Cultura Peruana, 1938, p. 104)
(Traduction de P.G et A.P.)


* quipu = système de comptes des anciens Péruviens, consistant en un ensemble de noueds.

 

Publié dans AU PAYS DES INCAS

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POESIE INCAS

Publié le par Domi













photo/Martial Guivarch


HYMNE AU SOLEIL

O mon soleil aimé tu prends feu ;
Ta splendide chevelure dorée
Réchauffe et couvre mon champ.

Du maïs la fleur verte devient jaune,
Déjà ton effluve l’a rendue mûre
Et de la plante l’humidité s’en est allée.

Tu lances tes flèches de toutes parts
Les yeux bien ouverts !
Ardent, magnifique, ô mon soleil aimé.

(Répertoire de Don Cosme Licona. Recueilli à Cuzco. Pièce du type « harawi », dont le titre a été ajouté par le traducteur. François Reyniers « Douze poèmes incaïques », Lima, 1945)

D'autres poésies incas sur ce site :
http://www.francopolis.net/francosemailles/poesieInca1.html

Publié dans COUP DE COEUR

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ACCEPTATION

Publié le par Bernard WERBER



http://blog.bouckenooghe.com/2005/11/24/emmanuel-lachenay-artiste-photographe-de-talent/


Il faut accepter de planter pour que d'autres récoltent ailleurs et plus tard.

Bernard Werber
Extrait de La Révolution des fourmis

Publié dans PROVERBE DU JOUR

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CONTE LE FOU SAGE ET L'OISEAU

Publié le par CHEZ TOM




Un homme captura un jour un serin. L’oiseau, si petit qu’il tenait dans la paume de sa main, tenta de négocier sa liberté en ces termes :

- Qu’attends-tu donc de moi ? dit-il. Je suis si petit, si maigre, je n’ai que la peau sur les os ! Rends-moi la liberté ! En échange, je te dirai trois vérités très utiles.

- Soit, dit l’homme. Mais comment pourrai-je savoir si tes vérités sont utiles pour moi ?

- C’est très simple, répondit le serin. Je te dirai la première vérité lorsque je serai encore dans ta main. Je te dirai la seconde lorsque je serai sur la branche de cet arbre ; aisni, tu auras encore le pouvoir de me rattraper si cette vérité ne te convient pas. Enfin, je te dirai la troisième, la plus importante, lorsque je serai là-haut dans le ciel.

- D’accord, dit l’homme. Dis-moi la première vérité.

- La voici : si tu perds quelque chose, s’agirait-il de ta propre vie, tu ne dois pas le regretter.

- Voilà une vérité profonde, pensa l’homme : le non-attachement aux formes extérieures, en effet, est le secret de la vraie liberté. Et il ouvrit la main.

L’oiseau s’envola sur la branche, d’où il proféra sa deuxième vérité :

- Si on te raconte une absurdité, n’y crois sous aucun prétexte avant d’en avoir eu la preuve !

-Très bien, dit l’homme, tu es beaucoup plus sage que ne le laissait prévoir ton minuscule crâne d’oiseau : l’être humain, en effet, est naturellement attiré par le mensonge et l’illusion, nés de sa convoitise ! Mais quelle est donc la troisième vérité ?

- C’est, lui répondit le serin qui planait désormais dans les hauteurs du ciel, que j’ai dans l’estomac, deux diamants gros chacun comme un de tes poings. Si tu m’avais tué, ta fortune était faite !

Fou de rage, l’homme tenta de jeter des pierres au serin. Puis, s’accusant, maudissant sa stupidité, il se mit à pleurer sur son sort.

- Imbécile ! s’exclama l’oiseau. Je t’ai dit de ne jamais regretter aucune chose, et tu regrettes déjà de m’avoir libéré ! Je t’ai dit de ne jamais croire une absurdité, et tu m’as cru lorsque j’ai prétendu, moi qui tiens dans la paume de ta main, avoir avalé deux diamants gros comme tes poings ! En raison de ta convoitise et de ton aveuglement, tu ne pourras jamais voler dans le ciel comme moi !


Conclusion : Rien n'est jamais acquis. La conscience est un effort de tous les instants...


SOURCE :
http://www.cheztom.com/

Publié dans CONTES DIVERS

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DEJEUNER

Publié le par SOMERSET MAUGHAM





Tout bonheur commence par un petit déjeuner tranquille.

Somerset Maugham

Publié dans PROVERBE DU JOUR

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CHANT DE DEESSE

Publié le par AUTEUR INCONNU

 

15056228_m

  

Je suis le vent et je suis les arbres.
Je suis la Terre et je suis la mer.
Je suis une mère et je suis un enfant.
J
e suis une amoureuse des passions folles.
Je suis la pluie et je suis l'âme.
Je suis celle qui guérit l'esprit.
Je suis la Vierge, la Mère, et la Vieille.
Je suis la moissonneuse des graines qui sont semées.
Je suis en dedans et je suis en dehors.
Je suis partout et même au plus loin.
Comme la Vierge je t'ai donné le cadeau de la joie.
Comme la Mère j'ai donné de la nourriture et des soins.
Comme la Vieille je t'ai donné la sagesse inconnue
Tous ces cadeaux, je te les ai donnés afin que tu les partages.
Tous ces cadeaux, je te les ai donnés afin que tu les partages.

 

Auteur inconnu
Traduction Cerrydwen Asherah
http://asherah.canalblog.com/archives/paroles_sacrees/index.html

Publié dans LA WICCA

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LES ETOILES

Publié le par Charles PEGUY





Il y a des larmes d'amour qui dureront plus longtemps que les étoiles du ciel.

Charles PEGUY
Poème d'amour

Publié dans PROVERBE DU JOUR

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MAGIE

Publié le par Philistin PANGER



















Si j’arrive au bout de la rue
en trente pas, tout au plus,
elle m’appellera ce soir
elle m’appellera pour me voir.

Je lance une pièce en l’air,
Ce sera pile ou face.
Je laisse ce mystère
décider à ma place.

Une échelle contre un mûr,
un cil sur une joue,
toutes ces choses sont plus sûres
qu’une certitude de vous.

Je relance la pièce,
je m’étais trompé.
Cette fois-ci, je laisse
le sort décider.

Les rêves ou les cartes
sont des justes vérités.
Jamais je ne m’écarte
de leurs conseils avisés.

La troisième, c’est la bonne.
Qu’importe le résultat.
Si c’est pile, j’abandonne,
elle n’appellera pas.

La face reste devant mes yeux.
Je le savais. Je suis heureux.
Il ne reste plus qu’à attendre
que m’appelle ma douce et tendre.

Philistin Panger ©
http://www.philistinpanger.com/article8.html

Publié dans POÉSIES DIVERS

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