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PARTIR

Publié le par Domi


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Partir, c'est avant tout sortir de soi. 

Prendre le monde comme centre, au lieu de son propre moi. 

Briser la croûte d'égoïsme qui enferme chacun comme dans une prison. 

Partir, ce n'est pas braquer une loupe sur mon petit monde. 

Partir, c'est cesser de tourner autour de soi-même 

comme si on était le centre du monde et de la vie. 

Partir, ce n'est pas dévorer des kilomètres 

et atteindre des vitesses supersoniques. 

C'est avant tout regarder, s'ouvrir aux autres, aller à leur rencontre. 

C'est trouver quelqu'un qui marche avec moi, 

sur la même route, non pas pour me suivre comme mon ombre, 

mais pour voir d'autres choses que moi, et me les faire voir. 

 

 

 

 

Source: Don Helder Camara....www.lespasseurs.com

Publié dans PAROLES DE SAGE

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LE COCON ET LE PAPILLON

Publié le par Domi

 

Un jour, une ouverture apparut dans un cocon.
Un homme s'assit et regarda le papillon naissant se battre pendant des heures
pour crever son abri et forcer le petit trou à s'agrandir.
Mais bientôt il sembla à l'homme que l'insecte ne progressait plus.
Il était allé aussi loin qu'il avait pu mais il ne bougeait plus. 
Alors l'homme prit une paire de ciseaux et découpa délicatement le cocon
pour aider le papillon à sortir. 
Celui-ci émergea facilement.
Mais il avait un corps chétif et ses ailes froissées étaient atrophiées. 
"Pas grave, il va se développer" se dit l'homme
et il continua à regarder le papillon
en espérant qu'il déploie ses ailes pour voler. 
Mais cela n'arriva jamais.
Le papillon passa le reste de sa vie à ramper sur son petit corps,
incapable d'utiliser ses ailes rabougries.
Ce que l'homme, dans sa bonté précipitée,
n'avait pas compris,
c'est que le cocon trop serré est une ruse de la Nature
pour forcer le papillon à le percer et à entraîner ses ailes...
A cette condition seulement, il peut voler.
Parfois, nos angoisses, nos échecs,
nos coups durs sont précisément ce dont on a besoin.
Si la nature permettait qu'on avance dans la vie
sans jamais rencontrer aucun obstacle,
cela nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon trop vite naît
à qui la facilité a coupé les ailes.
La liberté est chèrement acquise..Mais on ne vole pas sans s'entraîner un minimum !

 

Publié dans PAROLES DE SAGE

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REBELLE

Publié le par DISNEY

Rebelle
le nouveau film des Studios Disney Pixar
L'histoire

Au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands en Écosse, légendes merveilleuses et récits épiques sont transmis de génération en génération depuis des temps immémoriaux. Dans cette lignée, REBELLE, le nouveau film des Studios Disney - Pixar nous entraîne aux côtés de la courageuse Mérida faisant face aux traditions, à son destin et aux créatures les plus féroces......

 

Voir le site pour lire la suite:  

http://www.disney.fr/rebelle/


Publié dans COUP DE COEUR

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L'HESITANT

Publié le par Domi

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Dans un douar situé au pied du djebel Nefta, il était un jeune bédouin qui hésitait à se marier pour deux raisons. La première était qu’il craignait de se voir imposer une épouse qu’il n’aurait pas aimée ; la seconde, d’essuyer un refus de l’élue de son cœur.

Il alla voir le cheikh qui l’écouta patiemment puis lui dit :
 
- Je comprends tes hésitations : un homme et une femme ne se choisissent pas comme on choisirait une pastèque à l’étal du marchand. Mais un cavalier ne peut non plus demeurer éternellement devant le cheval sans mettre le pied à l’étrier.Pour ce qui est de tes craintes, je te dirai :

« Si tu l’aimes, dis-le-lui.
Si elle t’aime, écoute-la.
Si vous vous aimez, dîtes-le-vous.
Si elle ne t’aime pas, ne dis rien.
Si tu ne l’aimes pas, apprends à l’aimer. »

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Publié dans PAROLES DE SAGE

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LECTURE

Publié le par Maxime GORKI

 

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II ne faut pas trop lire, il faut que la lecture soit fructueuse; il faut lire chaque auteur avec attention et alors seulement l'on repêchera une perle.

 

MAXIME GORKI

Publié dans PROVERBE DU JOUR

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PETITE HISTOIRE DE FOLIE

Publié le par INCONNU


La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.
Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa :

* On joue à cache-cache ?
* Cache-cache ? C'est quoi, ça ? - demanda la Curiosité.
* Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.
* Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le
prochain à compter.

Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse. 1, 2, 3,... - la Folie
commença à compter.

L'Empressement se cacha le premier, n'importe où. La Timidité, timide comme
toujours, se cacha dans une touffe d'arbre. La Joie courut au milieu du
jardin. La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit
approprié pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près
de lui derrière un rocher. La Folie continuait de compter tandis que ses
amis se cachaient. Le Désespoir étaient désespéré en voyant que la Folie
était déjà à nonante-neuf.

* CENT ! cria la Folie.
* Je vais commencer à chercher...

La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher
de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En
regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne
sachant pas de quel côté il serait mieux caché. Et ainsi de suite, elle
découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité... Quand ils étaient tous
réunis, la Curiosité demanda

* Où est l'Amour ?

Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha
au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle
ne trouvait pas l'Amour. Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier,
pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque
soudain elle entendit un cri. C'était l'Amour, qui criait parce qu'une
épine lui avait crevé un oeil. La Folie ne savait pas quoi faire. Elle
s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui
promettre de le suivre pour toujours. L'Amour accepta les excuses.

Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours. 

Publié dans PAROLES DE SAGE

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LA CONSCIENCE

Publié le par Domi

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Publié dans PROVERBE DU JOUR

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APPRENTISSAGE DE LA VIE

Publié le par Domi

 

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Chaque instant qui s’offre à nous est un nouvel apprentissage de la vie, dans ses limites comme dans ses moments de grande plénitude. Même si notre besoin de l’autre est très grand, il ne peut remplir notre vide et nous apporter la sécurité que nous recherchons. Cette sécurité, il faudra la trouver en nous-mêmes, car il est impossible de penser que nous pouvons nous trouver en quelqu’un d’autre. C’est tout le sens de l’identité personnelle qui entre en jeu. Cette identité se trouve en marchant sur notre propre chemin et en nous connaissant bien nous-mêmes. Le secret, c’est cette plongée à l’intérieur où nous irons puiser force et inspiration.

Publié dans PAROLES DE SAGE

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SERVIR♥

Publié le par Domi

 

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Tout le monde peut accomplir de grandes choses... parce que tout le monde peut servir. Vous n'avez pas besoin d'un diplôme universitaire pour servir.  Vous n'avez pas besoin d'accorder le verbe avec le sujet pour servir.  Vous avez simplement besoin d'un coeur plein de grâce.  D'une âme régénérée par l'amour.


Martin Luther King

Publié dans PROVERBE DU JOUR

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CHARLES PERRAULT: Les Fées - Texte

Publié le par Charles PERRAULT

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Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autres choses que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. Oui-dà, ma bonne mère, dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément.

 

La bonne femme, ayant bu, lui dit : Vous êtes si belle, si bonne, et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don (car c'était une Fée qui avait pris la forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de cette jeune fille). Je vous donne pour don, poursuivit la Fée, qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une Fleur, ou une Pierre précieuse. Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps ; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants. Que vois-je ? dit sa mère tout étonnée ; je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants ; d'où vient cela, ma fille ? (Ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille. ) La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille ; tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle ; ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don ? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement. Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine. Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure. Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau Flacon d'argent qui fût dans le logis.

 

Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu'elle vit sortir du bois une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire : c'était la même Fée qui avait apparu à sa sœur mais qui avait pris l'air et les habits d'une Princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille. Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire, justement j'ai apporté un Flacon d'argent tout exprès pour donner à boire à Madame ! J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez. Vous n'êtes guère honnête, reprit la Fée, sans se mettre en colère ; hé bien ! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud. D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria : Hé bien, ma fille ! Hé bien, ma mère ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds. ô Ciel ! s'écria la mère, que vois-je là ? C'est sa sœur qui en est cause, elle me le payera ; et aussitôt elle courut pour la battre. La pauvre enfant s'enfuit, et alla se sauver dans la Forêt prochaine. Le fils du Roi qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer. Hélas ! Monsieur c'est ma mère qui m'a chassée du logis. Le fils du Roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six Perles, et autant de Diamants, la pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Le fils du Roi en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena au Palais du Roi son père où il l'épousa. Pour sa sœur elle se fit tant haïr que sa propre mère la chassa de chez elle ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir alla mourir au coin d'un bois. 

 

MORALITE

Les Diamants et les Pistoles,
Peuvent beaucoup sur les Esprits;
Cependant les douces paroles
Ont encor plus de force, et sont d'un plus grand prix.


AUTRE MORALITE

L'honnêteté coûte des soins,
Et veut un peu de complaisance,
Mais tôt ou tard elle a sa récompense,
Et souvent dans le temps qu'on y pense le moins.

Publié dans CONTES DIVERS

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