COQUILLE DU COEUR
" La sincérité est la perle
qui se forme dans la coquille du coeur "
Proverbe Soufi
(merci Christel)
Contes, récits et légendes du monde entier. Je vous propose d'éprouver votre résistance aux sombres pouvoirs des sorcières. L'occasion unique de renouer avec votre enfance et de retrouver ces charmants frissons qui vous envahissaient à la nuit tombée. La Magie d'une histoire ... La sorcière d'Arcane Name
" La sincérité est la perle
qui se forme dans la coquille du coeur "
Proverbe Soufi
(merci Christel)
C’est l’histoire de Paris et de ses amoureux. Paris, ville mythique, Paris ville de l'amour, Paris ville du romantisme... et des clichés. Et quand certains se baladent sur l’avenue, le cœur ouvert… ou se bécotent sur les bancs publics, d'autres amoureux se pressent depuis peu sur le Pont des Arts.
Au dessus de la Seine, ils se jurent un amour éternel en accrochant aux rambardes du pont, des petits cadenas gravés de leurs noms, avant de jeter à l'eau, la clé de leur amour. C'est ainsi que quelque 1 600 cadenas de toutes tailles et de toutes formes ornent désormais la plus célèbre et romantique passerelle de la capitale.
1 600 cadenas arrachés
Mais comme dans tous les romans à l'eau de rose, il fallait bien un méchant pour mettre en danger la passionnelle histoire de nos amoureux. C'est chose
faite. Ce mercredi, les cadenas ont mystérieusement disparu.
A la mairie de Paris, on est formel: "Ce ne sont pas les services municipaux qui sont intervenus". Il y a quelques jours pourtant, elle avait commencé à trouver le phénomène un peu gênant. On expliquait qu'à terme les cadenas seraient retirés, invoquant la sacro-sainte "préservation du patrimoine". La mairie réfléchissait alors, à l'idée de trouver une solution de remplacement.
Mais quelqu'un a, semble-t-il, "devancé les employés municipaux", assure-t-on à la ville. Et on ne le répètera jamais assez, l’amour rend aveugle. La Préfecture de police a en fait les frais, assurant n'avoir rien vu du pillage. Le mystérieux arrache-coeur au coupe-boulon, court toujours.
Les cadenas du monde entier
Mais s'il souhaite nuire, l'incriminé a encore du travail. Car la pratique n’est pas nouvelle. A Moscou, les rambardes du Pont Luzhkov sont tellement
encombrées que des arbres métalliques ont été installés sur le pont pour pouvoir les attacher.
A Kaliningrad, les couples dont le mariage vient d'être célébré à la cathédrale, se rendent en cortège sur un pont voisin, où les jeunes mariés accrochent des cadenas gravés portant leurs noms. Même pratique à Bruxelles, Kiev, Vilnius, Florence sur le Pont Vieux, Vérone, la ville de Roméo et Juliette sur le Pont de Pierre, et à Venise. En Chine, les touristes qui escaladent la montagne sacrée de Huchan ont la surprise de voir des grappes de cadenas avec des noms d'amoureux attachés sur les rambardes d'accès. A Marrakech encore, des pèlerins les accrochent aux grilles des fenêtres de deux mosquées de la ville...
Quant aux Italiens, ils revendiquent la paternité de cette tradition qui trouverait son origine dans le roman italien J'ai envie de toi, de Federico Moccia. Les deux héros accrochent un cadenas avec leur nom sur un lampadaire du Ponte Milvio près de Rome, avant de s'embrasser et de jeter la clé dans les eaux du Tibre...
Alors disparus à jamais les cadenas parisiens ? Pas tout à fait. Une quarantaine d’irréductibles semblent avoir résisté à l'attaque massive de l'arrache-coeur. Preuve pour ces chanceux-là, s’il leur en fallait, que leur amour rimera sûrement avec toujours...
Le bonheur, cette joie aiguë qui bouleverse le coeur, cette espèce de spasme de l'âme
Carlo Cassola
A travers l'action "Laissez-les pendouiller", ils cherchent à convaincre les éleveurs de laisser pendouiller celles de leurs porcelets. Ils comptent sur une large participation des hommes, de sorte que les supermarchés cessent de vendre de la viande de porcs castrés, explique dans un communiqué un responsable de la campagne, Michel Vandenbosch.
Gaïa demande à tous les hommes, qui peuvent aisément s'imaginer la souffrance
causée par une castration à vif, de laisser leur caleçon au placard ce 9 septembre pour se montrer solidaires. Quant aux femmes, elles sont invitées à dissimuler les sous-vêtements de leurs
conjoints dans un endroit secret ce vendredi. A vous de jouer Mesdames
Les porcelets mâles -les verrats- sont soumis à une ablation sans anesthésie des testicules quelques jours après la naissance dans le but de prévenir l'apparition, dans les faits assez rare, d'une odeur désagréable lors de la cuisson de la viande, souligne Gaïa.
L'association dénonce une "intervention qui leur cause une souffrance aiguë" et prône à la place le recours à "la méthode indolore de la vaccination".
Afin d'"éviter tout accident" vendredi, Gaïa prodigue quelques conseils aux hommes: "évitez les pantalons avec fermeture éclair, prenez garde avant de vous asseoir, évitez également les pantalons à taille (trop) basse". Mais elle rassure : pas la peine de porter de pantalons transparents: "On vous croira sur parole".
Mardi, plus de 3.000 hommes assuraient sur la page Facebook de Gaïa qu'ils prendraient part à l'action.
Issue de folklore chinois et présente dans toute l'Asie, cette légende raconte l'histoire d'un vieillard sous la lune qui, en façonnant des petites statuettes en terre des futurs époux et en les liant par un fil de soie rouge, détermine les futures alliances matrimoniales. Ce mythe apparait pour la première fois dans « l'auberge des fiançailles », l'un des contes du recueil des récits fantastiques Xuyouguailu, de Li Fuyan (775-833)
En voici l'une des nombreuses variantes :
Un beau soir, un jeune voyageur du nom de Wei Gu descendit pour la nuit dans une auberge de Songchen. A la clarté de la lune, il vit près de l'entrée un vieil homme appuyé contre un sac de toile. Celui-ci semblait consulter un registre. Intrigué, il s'approcha. N'apercevant que des pages vierges, il ne put s'empêcher de lui demander ce qu'il pouvait bien y chercher. Le vieillard lui répondit : "Toutes les unions matrimoniales de ce monde y sont inscrites". Et comme Wei Gu regardait le sac de toile d'un air interrogateur, il poursuivit :" Ce sac contient les fils de soie rouge qui, une fois attachés aux pieds de deux effigies, vouent leurs modèles à devenir lari et femme. Et ce, quels que soient le temps, la distance, et les circonstances qui les séparent actuellement. Le fil peut s’étirer ou s'emmêler, mais il ne cassera jamais... Tant que les pieds des futurs époux sont attachés l'un à l'autre, il est inutile de chercher quelqu'un d'autre".
La curiosité l'emportant sur la raison, Wei Gu ne put s'empêcher de lui demander s'il savait qui il épouserait. Le vieil homme lui répondit en riant : "Contre le mur nord de l'auberge se trouve l'étal d'une vieille marchande de légumes. ta future femme, c'est sa petite-fille". Le jeune homme, pensant qu'il se moquait de lui, monta se coucher sans plus rien demander. A son réveil, il décida tout de même d'aller y jeter un œil. Et il la vit : une petite fille au nez mal essuyé et qui ne payait pas de mine, courait de-ci de-là près de l'étal. Vexé, il la fit tomber au moment où elle passait près de lui. Blessée, l'enfant se mit à pleurer à grand bruit et Wei Gu s'éclipsa mi-honteux mi-rageur.
Plusieurs années passèrent. S'étant distingué lors d'une campagne militaire, Wei Gu se retrouva fiancé à la fille du cheF de l'arsenal de Xiangzhou. Le soir des noces, et comme l'exige la coutume, il découvrit pour la première fois le visage de sa femme. Intrigué par une petite cicatrice qu'elle avait entre les sourcils, il la questionna. Celle-ci lui répondit : "Quand j'étais petite, un jour alors que je tenais compagnie à ma grand-mère, un vaurien m'a fait tomber sur le front et j'en ai gardé cette cicatrice". Wei Gu dut alors se rendre à l'évidence : sa femme n'était autre que la petite fille dont lui avait parlé le vieillard et celui-ci devait bien être dieu. Honteux, il confessa son histoire qui finit par parvenir aux oreilles du préfet de Songcheng. L'auberge fut alors renommée "Auberge des fiançailles" et bientôt, l'existence du vieillard sous la lune dut connue de tous. Quant à Wei Gu et sa femme, ayant pris conscience que leur union n'était pas le simple fruit du hasard, ils eurent à cœur de ne jamais se disputer...
On raconte parfois que, si certains couples ne s'entendent pas bien, c'est parce que le vieillard, qui ne dispose que d'un local limité pour faire sécher les effigies en terre qu'il fabrique, doit en laisser dehors. Il arrive que la pluie les fasse fondre partiellement diminuant de ce fait l'harmonie de leur union.
Il faut savoir qu'en Asie, la couleur rouge, associée aux noces, est de bon augure.
La coutume de faire tenir aux futurs époux l'extrémité d'un fil de soie rouge durant la cérémonie de mariage était déjà connue sous la dynastie chinoise des Tang (618-907). De nos jours et depuis la dynastie des Song (960-1279), le fil a été remplacé par un mouchoir.
L’espoir porte un costume de plumes, se perche dans l’âme, chante un air sans paroles et ne s’arrête jamais.
Emily DIKINSON
La rentrée approche, le temps de lire vos nombreux commentaires et d'y répondre, je prendrai un peu de temps pour visiter à nouveau vos blogs. J'espère que la reprise n'a pas été trop dure et que tout se passe au mieux dans votre vie. Moi je ne reprends le travail que lundi prochain... Je vous retrouve trés vite dans mon antre de sorcière avec de nouvelles idées.
Bonne journée à tous,
BISOUS
Domi
LA SORCIERE D'ARCANE