LA CAGE DE LA HAINE
La haine, c'est la colère des faibles !
Contes, récits et légendes du monde entier. Je vous propose d'éprouver votre résistance aux sombres pouvoirs des sorcières. L'occasion unique de renouer avec votre enfance et de retrouver ces charmants frissons qui vous envahissaient à la nuit tombée. La Magie d'une histoire ... La sorcière d'Arcane Name
Peintre et sculpteur espagnol
Pablo (Ruiz) Picasso est né à Mâlaga (Espagne) le 25 octobre 1881 et est mort à Mougins (France) le 8 avril 1973
«L'art est un mensonge qui nous permet de saisir la vérité.»
«Si l'on sait exactement ce qu'on va faire, à quoi bon le faire?»
«En peinture, on a le droit de tout essayer, à condition de ne jamais recommencer.»
«Le métier, c'est ce qui ne s'apprend pas.»
«En réalité, on travaille avec peu de couleurs. Ce qui donne l'illusion de leur nombre, c'est d'avoir été mises à leur juste place.»
«Le goût est l'ennemi de la créativité.»
Je tenais à vous présenter mon peintre préféré... Toffoli. Je vais lui consacrer d'ailleurs un album photos.
Peintre (1907 - 1999) qui a vécu la majeure partie de sa vie à Charenton-le-Pont, où un musée lui est consacré. On peut y découvrir une centaine d'oeuvres, parmi lesquelles des originaux d'affiches publicitaires, des dessins et des toiles reprenant les trois thèmes de prédilection de l'artiste : les métiers, les voyages, la maternité. Des oeuvres de facture classique datant des années 30 aux réalisations les plus récentes (début des années 1990), toute la palette des styles et des couleurs utilisés par le peintre. Le temps d'une heure, plongez dans la lumière et la transparence qui semblent traverser les objets et les personnages imaginés par Toffoli, dans des nuances de bleu ou de rouge orangé...
Peintre de la lumière, l’œuvre de Louis Toffoli est connue dans le monde entier. Charentonnais depuis 65 ans, la ville lui consacre un espace de 600 m2 où les amateurs pourront découvrir toute la palette de ses styles : toiles, lithographies, tapisseries, dessins, affiches et sanguines.
Les toiles de Toffoli s’imposent d’emblée au visiteur ; elles semblent sortir du mur afin de séduire et envoûter. Le peintre se refuse à la facilité, n’accepte aucune concession. Il peint ce qu’il aime, ce qu’il ressent, comme à la recherche d’une vérité intérieure. La lumière est transparente, inhabituelle, étrange, traversant toutes les formes. L’impression de pureté qui s’en dégage crée une profonde intimité avec les personnages.
Une série de six tapisseries datant du XVe siècle, que l'on peut voir au Musée Nationnal du Moyen Age (Thermes et hôtel de Cluny, à Paris).
Toutes les tapisseries reprennent les mêmes éléments : sur une sorte d'île, on voit une femme entourée d'une licorne (sur la droite), d'un lion (sur la gauche), parfois d'une servante et d'autres animaux. Cinq de ces représentations illustrent un sens :
- le goût : la Dame prend une dragée que lui tend sa servante
- l'ouïe : la Dame joue de l'orgue
- la vue : la licorne se contemple dans un miroir tenu par la Dame
- l'odorat : pendant que la Dame fabrique une couronne de fleurs, un singe respire le parfum d'une fleur dont il s'est emparé
- le toucher : la Dame tient la corne de la Licorne ainsi que le mât d'un étendard.
La sixième tapisserie, sur laquelle on peut lire la formule « A mon seul désir », est plus difficile à interpréter.
Si les masques et les statues exposés dans les musées vous laissent sur votre faim, voici trois reconstitutions du visage du jeune homme (sic), réalisées à partir de 1.700 photos haute résolution du scanner de la momie. Trois équipes ont travaillé indépendamment. L’équipe égyptienne a travaillé directement à partir du scanner et a recréé en 3D sur ordinateur le visage du pharaon, mort à 19 ans.
L’équipe américaine ne savait pas que le crâne à partir duquel ils ont travaillé était celui de Toutankhamon. Quant aux Français, l’anthropologiste légiste Jean-Noël Vignal et la sculptrice spécialisée Elisabeth Daynès, ils ont produit le buste le plus proche d’un modèle vivant. Les différences entre les trois modèles révèlent cependant les incertitudes qui demeurent sur la physionomie de Toutankhamon.
Zahi Hawass, le directeur du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, a souligné que ces bustes rappelaient des représentations célèbres du jeune pharaon. Mais ces représentations elles-mêmes ont sans doute été influencées par une esthétique particulière régnant à l’époque de Toutankhamon.
Depuis la découverte de sa tombe et de son trésor en 1922 par Howard Carter, l’enfant-roi arrivé au pouvoir en 1335 av JC fascine. Sa momie a été passée aux rayons X au mois de janvier. L’équipe de chercheurs réunis par Zahi Hawass a exclu l’hypothèse d’une mort provoquée par un coup sur la tête, sans conclure définitivement sur les causes de sa mort prématurée.
Zahi Hawass, associé à la société National Geographic, a le projet de reconstituer ainsi un grand nombre de momies égyptiennes afin de les rendre ‘’plus vivantes (plus exactement, plus blanches)’’.
L'histoire est le témoin des temps, la lumière de la vérité, la vie de la mémoire, l'institutrice de la vie, la messagère de l'antiquité
La grande Muraille de Chine fait parler d'elle dans les actualités cette semaine....
Il faut être trois pour apprécier une bonne histoire : un pour la raconter bien, un pour la goûter et un pour ne pas la coprendre. Car le plaisir des deux premiers est doublé par l'incompréhesion du troisième.
Le savoir-vivre se perd de nos jours... Pourtant, ça aide d’être poli dans la vie !
Très tôt, on apprend à dire « bonjour, « au revoir », « s’il te plaît », « merci »... Mais avec l’âge, ces paroles s’envolent. La politesse n’est plus un réflexe. Pire : elle est considérée comme ringarde, réservée aux gens nobles. Et voilà comment les jeunes passent pour être mal élevés !
La faute aux parents ?
Certainement, les parents sont un peu fautifs. Ils s'imaginent que c'est aux enseignants d'éduquer leurs enfants. Ils sont moins dans le dos de leurs enfants à leur faire comprendre que par exemple : il ne faut pas mettre les doigts sans le nez ou encore dire bonjour à une personne. La politesse et le savoir-vivre ne sont plus une priorité dans l'éducation. Pour plusieur raisons (travail, divorce, famille recomposée), les jeunes sont souvent livrés à eux-mêmes, dans leur vie de tous les jours. Ils doivent se débrouiller seuls, ce qui explique bien sûr certains comportements désastreux.
Merci le progrès !
Et les progrès du monde moderne n’arrangent pas les choses. La télévision est une vitrine de grossièretés. Avec le téléphone portable et le baladeur MP3, les jeunes oublient qu’ils ne sont pas seuls sur Terre...
Polis sans chichis
Pourtant, ça aide d’être poli dans la vie ! Pour cela, pas la peine de faire des chichis. Il suffit de suivre quelques règles de politesse élémentaires. Ce n’est qu’à cette condition qu’on peut vivre ensemble, dans le respect de chacun.
Et ailleurs ?
Au Moyen Orient, roter en fin de repas est un compliment pour le cuisinier. Ça veut dire qu’on a bien mangé.
À Hong Kong, éviter de porter du bleu ou du blanc en société : ces couleurs sont associées à la mort et au deuil !
En France, entre amis on se fait des bises. En Russie, un baiser sur la bouche. Chez les Esquimaux, un frottage de nez. Aux États-Unis , une accolade. En Chine et au Japon, on s’incline.
Au Brésil, c’est impoli de manger avec ses doigts, même un sandwich ! On utilise des couverts ou on prend une serviette.
En Afrique du Sud, c’est grossier de mettre ses mains dans les poches pendant une conversation.
En Chine, il faut manger de tout sans montrer sa préférence et finir son bol de riz. On peut boire sa soupe en faisant du bruit.
Au Mexique, hommes et femmes ont l’habitude de se siffler et de se faire des clins d’œil.
Dans les pays islamiques, les mains se trouvent toujours sur la table. On mange avec la main droite. La main gauche est considérée comme impropre, vu qu’elle est principalement utilisée aux toilettes.
En Italie, c’est vulgaire de mâcher du chewing-gum.